Pour des entraînements efficaces, le plastron peut être complété par des pattes d’ours, des gants de boxe adaptés et un bon protège-dents pour l’athlète en phase offensive.
Le protège-coude est recommandé pour les entraînements où les coudes sont sollicités, comme en muay-thaï. Il sert à prévenir les blessures, notamment lors des phases de clinch ou des frappes rapprochées.
Oui, en plus de protéger le porteur, le protège-coude réduit les risques de coupures ou d’impacts trop violents pour le partenaire, surtout dans les entraînements à intensité modérée ou contrôlée.
Absolument, ils complètent idéalement d’autres équipements comme les genouillères, protège-tibias ou protège-dents pour une protection complète du combattant.
Tout dépend de la fédération et du niveau de compétition. En règle générale, ils sont autorisés à l’entraînement, mais rarement en compétition officielle, sauf dans certaines disciplines comme le muay-thaï amateur.